19 | 11 | 2024
Le 9 juillet 2024, Périgord Habitat a organisé une rencontre avec ses partenaires institutionnels et associatifs, à la salle des fêtes de Champcevinel. Des structures telles que le SAFED, l’ATELIER, l’ASD, l’UDAF, le VILLAGE DE L’ENFANCE, la DDETSPP, le CCAS Chamiers, le CCAS Périgueux, la FONDATION JOHN BOST, le CET LA ROUSSELIERE ont répondu présent à ce rendez-vous. Pour l’office, il s’agissait de présenter, ou de rappeler, l’organisation interne et les différents métiers constituant chaque service, particulièrement la direction de la clientèle (Sandrine Lacave et Hélène Petit), l’accompagnement (Emilie Laurent Garcia), la proximité et la médiation (Thomas Butruille) et les agences territoriales (Muriel Campcros Marlaud et Pierre Fernandes). Au-delà des fonctions, ce temps de rencontre et d’échanges a également permis d’associer des visages à des noms, dans un contexte où la charge administrative liée au logement social peut parfois prendre le pas sur le véritable dialogue.
Bertrand Boisserie, directeur général de Périgord Habitat depuis le 1er juin 2024, a introduit cette rencontre en rappelant que ce lien fort entre l’office et ses partenaires est, à son échelle, l’une des composantes de la démarche d’amélioration de la qualité de service actuellement en cours.
Après la présentation de l’organisation et des chiffres clés dans l’actualité du logement social, tel qu’un nombre de demandes de logement qui n’a jamais été aussi haut en Dordogne (dépassant les 8000 demandes), les premiers mots dans l’assistance ont salué les excellentes relations avec les services de Périgord Habitat. Les dossiers traités concernent des situations complexes, souvent urgentes, pour lesquelles une parfaite connaissance des sujets et de la réactivité sont indispensables. L’ensemble des participants s’est accordé à dire que ces éléments sont réunis et ont déjà contribué à obtenir des résultats. Cela n’a pas empêché de soulever des problèmes et des contraintes. Un fait en particulier a trouvé écho chez plusieurs participants : l’inadéquation de la typologie des logements et le vieillissement du parc de Périgord Habitat. Concernant la typologie, la recherche concerne majoritairement, à ce jour, des logements allant du T1 au T2 dont le manque au sein du patrimoine de Périgord Habitat est avéré. Avec la question du vieillissement du parc, c’est celle du coût des travaux et des moyens financiers de l’office qui se pose. Ce constat est partagé par Bertrand Boisserie qui a précisé l’avoir intégré dans sa réflexion stratégique.
L’heure n’était pas à l’auto-congratulation mais bien à l’écoute, à la compréhension et à l’entraide. A l’initiative de Périgord Habitat, chaque structure a pu rappeler son rôle, ses besoins et ses attentes. S’agissant essentiellement du suivi de personnes au parcours résidentiel complexe, la notion d’étroite collaboration en est ressortie d’autant plus renforcée.